source le courrier picard.fr
ANTOINE Gérald -
Maire adjoint délégué aux sports et communications municipales
CORBIE
Merci pour votre confiance.
Centre culturel de Corbie, Théatre les Docks, médiathèque,musée,abbatiale, églises,chapelle, mairie, le parc, l'enclos, piscine, camping, Point de vue St-Colette, ...des lieux à découvrir
CORBIE avec vous!
ANZAC DAY
source le courrier picard.fr
Avez -vous remarqué un changement?
Le mercredi, jour de marché terroir a changé de place pour se situer en bas de la place de la République, se rapprochant des commerces, ce qui est plutôt pas mal.
Le parking se trouve sur la partie haute de la place de la République pour quelques mois, histoire de faire un essai sur la sécurité des automobilistes (entrée et sortie) pour la sécurité de tous.
A suivre!
Réunion publique à la Salle Victoria
jeudi 21 février 2013 à 18h.00
La Gendarmerie Nationale et la Mairie de Villers Bretonneux
organisent une information sur les mesures préventives à mettre en place pour limiter les risques d’intrusion dans votre domicile. Le Major Pierre-Marie DEMAISON interviendra sur le sujet et vous invitera à une vigilance de tous les instants.
Merci à l’avance de votre participation
Patrick SIMON
Maire de Villers-Bretonneux
Mercredi 13 Février 2013
Deux à trois milles personnes ont manifesté hier devant le siège de Goodyear France contre le projet de fermeture de l'usine d'Amiens-Nord. Ils reviendront le 7 mars.
REPORTAGE
D'un côté des dizaines de policiers barrant les accès de l'immeuble abritant le siège de Goodyear Dunlop Tires France à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), de l'autre 2000 à 3000 salariés venus de toute la France pour dire non au projet de fermeture de l'usine de pneus d'Amiens-Nord.
La bruine mélangée au froid n'a pas empêché la CGT d'orchestrer cette démonstration de force. Au moment même où la direction présentait, en détail, lors d'un Comité central d'entreprise (CCE), le projet de fermeture dans un livre (motivations économiques, mesures d'accompagnement, etc.).
Parmi les manifestants, une écrasante majorité d'ouvriers de Goodyear, rejoints par des salariés d'autres entreprises menacées par un plan social. «Le monde ouvriers'est mobilisé!», entendait-on clamer en traversant la foule.
Des ouvriers solidaires, à l'image d'une vingtaine de salariés de l'usine de pneus... Dunlop à Amiens-sud. «Le combat des Goodyear est également le nôtre, martelait Honoré Vinot membre du syndicat minoritaire Sud-Chimie. Oui, nous avons accepté les 4x8 pour sauver notre usine mais en 2014 nous n'aurons plus la garantie de l'emploi. On se pose forcément des questions...»
L'usine Dunlop produit 9000 à 10000pneus par jour contre 18000 en 2012. «La direction met en avant la crise du secteur automobile mais sur un autre site en Allemagne, la production n'a chuté que de2000 unités. Pourquoi se borne-t-on à produire des pneus de petite dimension?» s'énerve un autre «Dunlop ».
De l'énervement et de la colère, il y en a eu face à l'imposant cordon policier. Certains ont bien tenté d'en découdre avec les CRS mais ces derniers sont restés stoïques, comme insensibles aux jets de projectiles divers.
Manifestement, la consigne était d'éviter tout débordement. D'un côté comme de l'autre. «Montrons à la France entière qu'il n'y a pas un bandit, pas un voyou chez nous!» haranguait Mickaël Wamen.
Le leader cégétiste a participé au CCE et pour lui, rien de bien nouveau: «Avant chaque élection syndicale, la direction nous fait le même coup. Celle du plan social pour déstabiliser la CGT. Voilà des années que cela dure.»
Pour le syndicat majoritaire du site d'Amiens-Nord, le projet de fermeture voulu par le groupe est stratégique. «Goodyear se porte bien financièrement, ce n'est pas moi qui le dis mais le patron du groupe monde à Akron (États-Unis) dans un document», a poursuivi Mickaël Wamen, pour qui l'annonce par Arnaud Montebourg du retrait du potentiel repreneur Titan est une vraie fausse nouvelle.
«Tout ça est une farce comme nous le pressentions depuis longtemps. » Le prochain CCE est programmé le 7 mars au même endroit. La CGT compte renouveler cette journée d'action.
BAKHTI ZOUAD source le courrier picard.fr
Mercredi 13 Février 2013
Ces sels chlorés issus de la Grande Guerre sont détectés dans l'est de la Somme et au nord de l'Aisne. Bébés et femmes enceintes sont concernés.
Les pouvoirs publics avaient déjà dressé une carte partielle des perchlorates dans les captages d'eau de la Somme.
Hier, l'Agence régionale de santé (ARS) l'a confirmé avec de nouvelles analyses: ces sels chlorés sont bien détectés sur la moitié est du département, ainsi que dans une enclave de l'Abbevillois.
Mais aussi dans un tiers nord de l'Aisne (carte ci-dessus). Dans l'Oise, les recherches débutent. Une carte complète de la Picardie est attendue pour fin mars.
Pour Linda Cambon, directeur santé publique à l'ARS, la poursuite des analyses, « guidées par le principe de précaution», renforcent l'hypothèse initiale: ces perchlorates proviendraient d'une dégradation de munitions de la Première Guerre mondiale, leur présence se superposant aux zones de combat, contiguës entre Somme et Aisne.
Dans la mesure où la toxicité de ces sols chlorés n'est pas avérée, «la population générale peut continuer à consommer l'eau du robinet», maintient la préfecture de la Somme.
Néanmoins, il semble établi que des perchlorates, aux incidences cliniques encore méconnues, peuvent avoir des effets (réversibles) sur la thyroïde.
C'est pourquoi, les autorités recommandent, «sur la base de seuils très protecteurs», de ne pas consommer l'eau du robinet dans deux cas. Pour les biberons des nourrissons quand les taux sont supérieurs à 4µg/l; soit 268 communes dans la Somme et 101 dans l'Aisne. Et pour les femmes enceintes ou allaitantes au-delà de 15µg/l; 8communes dans la Somme (dont Roye) et 14 dans l'Aisne.
Non classés comme cancérigènes, ni mutagènes, les perchlorates font partie de ces nouvelles substances pistées. «Il y en aura d'autresà l'avenir. La législation devrait passer de 36 à 64produits surveillés», prédit Geoffroy Mahieux, de l'UFR de sciences (contrôle de l'eau) à l'UPJV.
Outre les résidus médicamenteux, «on cherchera les sous-produits de l'ozone utilisé pour le traitement de l'eau. On s'interrogera peut-être aussi sur le polypropylène qui remplace les tuyaux au plomb.»
En attendant, même si «le problème de la pollution diffuse» sur le long terme reste entier, «la qualité de l'eau en France demeure exemplaire», rassure-t-il. Ce qui ne doit pas empêcher, selon lui, le débat sur «quelle qualité de l'eau et à quel prix veut-on» de se poursuivre.
GAËL RIVALLAIN source le courrier picard.fr
Actuellement travaux sur cette partie pour aménager le nouveau parking pour votre sécurité aussi bien les automobilistes mais aussi les passants.
Samedi 23 février à 16 heures à la Salle du centre technique municipal
Jeudi 14 Février : Circuit du mont Woigny 7 km
Départ à 14 h Place de l’église à Halloy-les-Pernois
organisée par l’association Rencontres
Les transports scolaires et les lignes voyageurs du réseau trans’80 circuleront ce lundi 11 février 2013.
Toutefois, des difficultés de circulation pourront éventuellement être constatées sur certains axes secondaires du département, et seront susceptibles de provoquer quelques perturbations localement dans la desserte de certaines communes.
En toutes circonstances et de manière encore plus affirmée en période hivernale, il appartient toujours en dernier ressort aux conducteurs d'apprécier la possibilité d'effectuer ou non un service, en fonction de l'état des routes qu'ils rencontrent.
Il est donc conseillé aux parents d'accompagner leurs enfants aux points d'arrêt et de s'assurer du passage du car, et ce, jusqu'à 15 minutes après l'horaire initialement prévu.
Enfin, en cas d'absence de passage d'un car, il est demandé aux parents qui emmèneraient eux-mêmes leurs enfants dans leur établissement scolaire de prendre leurs dispositions pour aller les récupérer le soir.
Toute l'information sur le réseau Trans'80 : www.trans80.fr
Pour être averti lors de la suspension des transports scolaires, abonnez-vous aux pages Facebook et Twitter du Conseil général.
L'auto-école Rousselle du Rond-Point de Corbie est fermée définitivement laissant sur le carreau plusieurs élèves qui malheureusement auront du mal à se faire rembouser!
On peut lire sur le courrier picard .fr :
La colère monte chez les élèves de l'auto-école du centre-ville, rue Dusevel, qui ont trouvé portes closes la semaine dernière.
En proie à de gros problèmes financiers, le groupe auto-école Benoît a fermé ses portes jeudi. Un coup dur pour les 12 salariés et les centaines d'élèves.
L'auto-école Benoît a sans doute définitivement fermé ses portes jeudi dernier. Placé en redressement judiciaire depuis plusieurs mois, le groupe qui comptait six agences (Corbie, Albert, Camon et trois à Amiens), employait 12 personnes et avait pour clients plusieurs centaines d'élèves dont beaucoup se sentent trahis.
Il y a plusieurs semaines, l'un des cogérants, Freddy Joly, avait pourtant évoqué la piste de deux repreneurs tout en se montrant rassurant. «Il n'y a aucune peur à avoir, on a travaillé sans relâche pour trouver une solution qui arrangerait tout le monde», confiait-il à l'époque.
Un faux espoir car l'un des repreneurs s'est retiré tandis que l'offre du second, un ancien salarié, n'aurait pas été jugée suffisamment sérieuse par le mandataire judiciaire.
Olivier Cheron proposait de reprendre le groupe pour un euro symbolique tout en s'engageant à garder la moitié des salariés et à garantir un suivi aux centaines de clients (près de 700).
«J'avais demandé un gel administratif afin que le repreneur puisse récupérer quasiment tous les dossiers, une partie des locaux et six salariés. Malheureusement, sa proposition a été jugée trop basse vu le trou financier (plusieurs centaines de milliers d'euros, voire plus), déplore Freddy Joly. On a été obligés de faire une cessation.»
Le gérant se dit anéanti par cet épilogue: «Je passe pour un monstre et un menteur alors que je suis persuadé qu'une reprise était possible pour limiter les dégâts. M.Chero n est décomposé, il ne comprend pas... On lui a dit qu'il ferait mieux de créer que de racheter. Il avait rendez-vous avec la Ville, il s'était rapproché de Somme Numérique et des banques.»
Reste qu'aujourd'hui, des centaines d'élèves se retrouvent sur le carreau. Mais déjà, la résistance s'organise, plusieurs dizaines d'entre eux ont décidé de se réunir en collectif. La colère monte et l'on entend déjà les reproches fuser: impossibilité de récupérer son dossier si on poursuit le groupe en justice, voitures non assurées depuis des mois, chèques encaissés malgré une situation financière connue, etc.
Inquiets eux aussi, les salariés auraient «très mal réagi à la fermeture», selon l'un d'eux qui souhaite garder l'anonymat. «L'avenir pour nous, c'est l'ANPE (sic), dit-il, amer. Le reclassement, on n'y croit pas dans ce contexte de crise économique...»
BAKHTI ZOUAD
SOURCE LE COURRIER PICARD.FR