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2 septembre 2006 6 02 /09 /septembre /2006 10:17

Bientôt la reprise des articles sur le canton de corbie et la politique nationale, les vacances sont finies!

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2 août 2006 3 02 /08 /août /2006 11:37
Par gery | Le 11 Mai 2006 à 00:51 | CANTON DE CORBIE | (Lu 41 fois)


CORBIE : Cadre de vie et environnement, la vigilance s'impose.




Plus qu'ailleurs, certainement la vigilance doit s'imposer pour ce qui concerne les questions d'environnement et de cadre de vie.

L’absence d’entretien des cours d’eau, de quelque nature qu’ils soient, peut avoir des effets aggravants



Les cours d’eau doivent être surveillés de manière à enlever tout obstacle qui s’y trouverait de leur fait.
L’entretien des cours d’eau est une des préoccupations de la mairie.

à suivre

Le cours d'eau "La Boulangerie"a été nettoyé au début de l'été. En me promenant je suis allé voir l'état du cours d'eau au mois d'Août.Il était revenu comme avant dans un état déplorable avec des détritus (bouteilles en verre, bidon énorme en plastique et divers papiers.Dans un article du 6 juillet 2006 paru dans le Courrier Picard relatant l'état de la Boulangerie débordant de déchets à Corbie, on pouvait y lire que "tout démarre au niveau du collège". Pourtant les collégiens sont en vacances mais le cours se salit toujours.La mairie sera dans l'obligation de le nettoyer régulièrement.

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1 août 2006 2 01 /08 /août /2006 09:05

Par courrier Monsieur Antoine Gérald a demandé lors du conseil municipal s’il était possible de réaliser la réfection du chemin menant aux salles paroissiales rue Faidherbe.

Réponse de Monsieur le Maire : La réfection de ce chemin est actuellement à l’étude en concertation avec les services techniques municipaux (recherche de matériaux plus adéquats que les gravillons actuels). Une réfection totale avec macadam serait trop onéreuse en sachant que ce chemin n’est pas une propriété de la ville de Corbie mais une servitude pour l’accès aux salles. L’entretien de celui-ci est à la charge du propriétaire, le diocèse.

Suite à cette question la mairie a procédé à boucher les énormes trous par des cailloux.Au bout de 15 jours les trous réapparaissaient avec l'eau.A suivre...

Photos réalisées en décembre 2006

 

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19 juillet 2006 3 19 /07 /juillet /2006 00:12

Quelques photos

le long du canal

 

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15 juillet 2006 6 15 /07 /juillet /2006 14:01

AVIS DE CONSULTATION

REQUALIFICATION DU CENTRE-VILLE

1. Nom et adresse de la personne publique :

Mairie de CORBIE - 1, rue Faidherbe - BP 1023 7 - 80800 CORBIE

Personne responsable du marché : Alain BABAUT, Maire.

2. Procédure de passation :

Procédure adaptée (article 28 du Code des Marchés Publics) - Marché négocié

3. Publicité.

- envoi à 5 prestataires

- Affichage en Mairie

- Insertion au Courrier Picard

- Insertion au BOAMP

4. Critères d’attribution :

Offre économiquement la plus avantageuse selon les critères énoncés ci dessous et

les modalités énoncés dans le règlement de consultation

- Méthode de travail proposée (note méthodologique) : 28%

- Organisation du prestataire (groupement, mandataire) : 28%

- Délais d’exécution : 24%

- Montant de la prestation analysée par coûts unitaires : 20%

5. Objet du marché :

Programmation urbaine pour la requalification du centre- ville

6. Détail du marché :

Préalablement à des investissements sur le centre-ville, notamment des aménagements,

la ville de Corbie souhaite initier une réflexion plus large portant sur les

réponses à apporter aux enjeux du site liés à l’image du centre-ville, au dynamisme

commercial, à la multiplicité des usages ( transit routier, circulations piétonnes,...) et

ce, dans une démarche concertée, pour explorer différents solutions, avec les différents

acteurs locaux.

7. Durée du marché :

Le présent marché est conclu pour l’année 2006

8. Modalité de financement : financement public sur ressources propres

9. Date d’envoi de l’avis de consultation : le 8 septembre 2005

10. Date limite de réception des offres : le 14 octobre 2005, à 17 heures.

Cahier des charges disponible sur demande en maire de Corbie.

11. Informations complémentaires :

D’ordre technique

Jean-Paul Dombrowski, Directeur Général des Services

Mairie de Corbie - 1, rue Faidherbe - BP 10237 - 80800 CORBIE

Tél : 03 22 96 43 02 - Fax : 03 22 96 43 13

D’ordre administratif :

M. Daniel Pechin - Service des marchés publics

Mairie de Corbie - 1, rue Faidherbe - BP 1023 7 - 80800 CORBIE

Tél : 03 22 96 43 06 - Fax : 03 22 96 43 13

S 499351

 

 

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13 juillet 2006 4 13 /07 /juillet /2006 23:09

Clin d'oeil à mes amis pêcheurs!

 

L'été,quoi de plus reposant qu'une partie de pêche!

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9 juillet 2006 7 09 /07 /juillet /2006 14:59

Merci aux parents d'élèves des écoles du centre de Corbie!

Lors de la kermesse du 2 juillet 2006 des écoles du centre de corbie à l'école Roses de Picardie, j'ai eu l'agréable surprise de recevoir un présent (un stylo Parker) par l'association des parents délèves APEV pour me remercier des années passées à l'association en tant que vice-président (2002) et président (2003-2004).Mes enfants étant au collège et le petit dernier n'étant pas encore scolarisé, j'ai dû avec regret quitter l'APEV.

Je souhaite une longue vie à l'association APEV, avec des remerciements à toutes les personnes qui m'ont aidé à oeuvrer lors de ma présidence.Je souhaite que cela continue avec le nouveau bureau.Ce n'est pas toujours facile de s'occuper de l'APEV en parallèle avec sa vie professionnelle et familiale.

J'ai une pensée particulière aux parents qui bénévolement font ce qui peuvent pour organiser des manifestations pour collecter de l'argent pour financer des actions pour les écoles (voyage de fin d'année, chars à voile, et particulièrement à la dernière kermesse à l'école La Caroline qui avait rapporté 900 € pour l'achat d'un PC portable ou aménager un jardin comme cette-année...) mais aussi à manifester contre tout abus comme par exemple la suppression d'une classe.

N'oublions pas que l'APEV est prête à soutenir les parents dans la difficulté, il ne faut pas hésiter à faire le premier pas vers l'association, elle est là pour vous écouter avec discrètion assurée.

Merci à tous    ANTOINE Gérald Ex-président de l'APEV

 

 

Moi avec Louis mon petit dernier de 2 ans

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2 juillet 2006 7 02 /07 /juillet /2006 11:29
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2 juillet 2006 7 02 /07 /juillet /2006 11:26
La Somme, 90 ans après la grande bataille
BÉATRICE PUJEBET
Publié le 29 juin 2006
. Actualisé le 29 juin 2006 : 09h43

Plus de dix mille personnes, dont le prince Charles d’Angleterre et de nombreux ressortissants des pays du Commonwealth, assisteront samedi aux cérémonies du 90e anniversaire des combats de la Somme, les plus meurtriers de la Première Guerre mondiale.

 
Le 1er juillet 1916, premier jour du conflit de la Somme, l’infanterie anglaise, prise sous le feu de la mitraille allemande, perdit 20 000 hommes.
 
Le 1er juillet 1916, premier jour du conflit de la Somme, l’infanterie anglaise, prise sous le feu de la mitraille allemande, perdit 20 000 hommes.
Le 1er juillet 1916, premier jour du conflit de la Somme, l’infanterie anglaise, prise sous le feu de la mitraille allemande, perdit 20 000 hommes.
AFP

Plus de dix mille personnes, dont le prince Charles d’Angleterre et de nombreux ressortissants des pays du Commonwealth, assisteront samedi aux cérémonies du 90e anniversaire des combats de la Somme, les plus meurtriers de la Première Guerre mondiale.

 
Un océan de blés, des chênes d’Afrique du Sud, des érables canadiens, des tapis de gazon anglais et des nuées de coquelicots sur le bord des chemins, bien sûr, mais aussi, en papier léger, au pied des tombes et des mémoriaux. En ce mois de juin, la campagne de la Somme a la paix profonde des lieux qui ont connu la fureur de la guerre. Silencieusement, des lycéens, cahier en main, parcourent un cimetière, les yeux rivés sur les stèles blanches, propres aux soldats du Commonwealth. Comment comprendre que des jeunes du même âge qu’eux aient traversé les mers pour venir mourir ici, il y a 90 ans ? Aujourd’hui, des Français, mais aussi des Anglais, des Écossais, des Canadiens prennent le relais pour transmettre la mémoire d’une bataille encore méconnue en France. Lancée le 1er juillet 1916 pour terminer, sans véritable victoire, dans les boues de novembre, la bataille de la Somme fit plus d’un million de tués, blessés ou disparus aux belligérants. Pour la seule journée du 1er juillet, les armées britanniques ont déploré 20 000 victimes. Ce bout de terre picarde est devenu « le Verdun » de l’Angleterre, de l’Australie, de la Nouvelle-Zélande, du Canada, de Terre-Neuve, de l’Afrique du Sud, de l’Irlande. Confrontés à l’impossibilité matérielle de rapatrier les corps de leurs soldats, les Britanniques ont enterré leurs morts sur place, dans plus de 400 cimetières. Dès la fin de la guerre, les flux de familles venant se recueillir sur les tombes ont créé une atmosphère typiquement « british ». Tea-room, bed and breakfast jalonnent ce bout de terre, sillonné par près de 200 000 visiteurs chaque année. Ils devraient être encore plus nombreux en cette année du 90e anniversaire. Chaque 1er juillet, à 7 h 28, une foule se rassemble à la Boisselle, autour d’un énorme trou de mine. Un bruit d’explosion, un coup de sifflet et, au loin, émerge le son lancinant d’une cornemuse. Un piper, en uniforme, s’avance. Le Somme Battlefield Pipe Band accompagne toute la cérémonie. Plus écossais que nature avec leur kilt, leur calot et leur cornemuse, ses membres sont pourtant bien français. Couvreur, enseignant, aiguilleur du ciel, dessinateur... leur aventure a commencé à Albert, en 1989, quand une poignée de passionnés de culture écossaise et de cornemuse commence à jouer pour des amis britanniques. Le Somme Battlefield Pipe Band, unique en son genre, est désormais de toutes les commémorations. « L’essentiel, outre la qualité musicale, est d’être très respectueux dans la façon de défiler et dans la symbolique de l’uniforme », explique son président, Yves Holbecq. En toutes saisons, le groupe assure les commémorations quand les musiques des régiments sont absentes. Arlène King s’occupe des destinées de 13 mémoriaux canadiens dont le site terre-neuvien de Beaumont-Hamel. Dans un parc où les tranchées sont encore visibles, les visiteurs tentent d’imaginer la rage d’une bataille qui a mis hors de combat près de 700 Terre-Neuviens dans la première demi-heure de l’assaut. Une poignée d’étudiants canadiens fait visiter le site. « Présents ici pendant quatre mois, ils transmettent cette mémoire à leur pays, se félicite Arlène King. Là-bas, on n’imagine pas la gratitude des Français, des Néerlandais ou des Belges pour nos soldats. » «Les Britanniques sont passionnés par leur histoire et cela se voit, sourit-elle. Les Français sont peut-être plus discrets, mais ils sont là, avec une efficacité tranquille. » Cette Terre-Neuvienne tient à rappeler inlassablement les motivations des soldats : « Après coup, certains disent que tous ces hommes sont morts pour rien.Nous n’avons pas le droit de dévaloriser leur engagement. » Elle espère être présente jusqu’au 100e anniversaire, avant de prendre sa retraite dans les environs : « Quand je suis arrivée au début des années 2000, je m’étais donné trois ans... » Jean-Pierre Thierry, lui aussi, en arrivant à Villers-Bretonneux en 1975, ignorait qu’il serait saisi d’une passion qui le ferait partir jusqu’aux antipodes. «Villers-Bretonneux abrite le mémorial des Australiens : j’ai commencé à me lancer à la recherche de toutes les traces de la Grande Guerre », confie le septuagénaire. Ancien cadre de l’industrie automobile, il se retrouve, au milieu des années 1980, en charge des collections de l’Historial de Péronne. Uniformes, jeux, meubles, prothèses... Jean-Pierre Thierry a sillonné l’Europe des collectionneurs et des greniers. À sa retraite, en 2003, il quitte les objets pour les hommes et part recueillir dans toute la France les souvenirs des derniers survivants de la Grande Guerre. En septembre, il s’envolera vers l’Australie. Les soldats australiens sont revenus chez eux avec leur « diary ». Munis de ce journal de bord, leurs descendants aiment découvrir les bois, les villages dans lesquels sont passés leurs ancêtres. «Je suis toujours frappée par la tenue des jeunes qui visitent le mémorial », confirme Geneviève Potié, maire de Thiepval. L’arc de triomphe rouge du Mémorial britannique portant plus de 73 000 noms de soldats disparus est visible à des kilomètres à la ronde. Une présence qui entraîne des cérémonies inédites : « Tous les 1er juillet, j’accueille d’abord les personnalités britanniques, en terre française, en lisière du mémorial, puis ce sont elles qui m’accueillent sur le site même, qui est territoire britannique. » Lors de la récente construction du centre d’interprétation, trois officiers britanniques étaient là pour surveiller les engins de terrassement qui travaillaient au peigne fin. Leur crainte ? Que des corps de soldats soient abîmés. Cette fois-ci, ce sont ceux de huit Allemands qui ont été exhumés. Régulièrement, la terre rend des vestiges. Obus, munitions, gamelles, monnaie, comme pour nourrir cette promesse répétée à chaque cérémonie du souvenir par les mots du poète Laurence Binyon : « Ils ne vieilliront pas... Lorsque nous, nous vieillissons. L’âge ne les atteindra pas...Ni le poids des années. Au coucher du soleil et au matin, nous nous souviendrons d’eux. »
 
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28 juin 2006 3 28 /06 /juin /2006 23:55

A méditer

Le Conseil Communautaire, comme le Conseil Municipal à l'échelle des communes, demeure un espace où l'on peut avoir un aperçu à ne pas négliger de la vie locale, même si dans le cas présent, il faut encore attendre un déclic pour que chacun mesure l'importance d'un tel outil pour le développement du territoire.

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